Deux mois après le viol d’une fillette de 3 ans à Cité Anoska qui avait choqué plus d’un, le bureau de l’Ombudsperson for Children met en place un plan d’action pour la protection des enfants de la localité. Rita Venkatasawmy parle d’une collaboration entre les habitants et les autorités.
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Une approche holistique pour mieux protéger les droits des enfants à la Résidence Anoska. C'est le plan d'action sur lequel travaille le bureau de l'Ombudsperson for Children. Il a été établi avec plusieurs autres partenaires suite à un atelier de travail de deux jours, a indiqué Rita Venkatasawmy lors d’une conférence de presse conjointe avec des habitants de la Résidence Anoska qui a eu lieu ce jeudi matin 20 août.
Pour l'Ombudsperson for Children, « il est d'important d'agir en collaboration avec les habitants et de prendre des décisions dans le respect de la dignité humaine. Il s’agit d’une approche communautaire pour dire que nous allons travailler pour les enfants de Cité Anoska, mais pas sans les membres de cette communauté. Des ONG sont également impliquées dans cette approche. L’enfant a droit à un environnement sain. L’un des projets abordés avec les membres de ladite communauté est d’embellir la cité afin de donner le goût de vivre aux enfants », a-t-elle déclaré.
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