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18 décembre. Un an, jour pour jour, après la victoire d’Arvin Boolell à l’élection partielle au numéro 18, l’heure est au bilan.
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Si le député du Parti travailliste a été actif à l’Assemblée nationale, on lui reproche son échec à fédérer l’opposition parlementaire. Il avait fait cette promesse lors de la campagne électorale.
Toutefois, il estime qu’il a pu dissiper les tensions entre les partis de l’Opposition.
Arvin Boolell affiche le sentiment du devoir accompli et estime qu’il a pu mettre les partis de l’opposition d’accord sur les ‘cross-cutting issues’ comme le Metro Express, les amendements à l’ICT Act, de même que la réforme électorale, entre autres.
En ce qui concerne sa participation aux travaux parlementaires, le député de la circonscription no 18 a inscrit à son compteur 45 questions, orales et écrites. Les sujets qui l’intéressent varient de l’industrie sucrière, à la diplomatie, les inconvénients liés au projet de Metro Express, aux scandales du moment.
Arvin Boolell est intervenu sur 14 projets de loi et il a soulevé des problèmes encourus par des habitants de Belle-Rose/Quatre-Bornes à trois reprises lors de l’ajournement des travaux parlementaires. Il a été la cible des députés du gouvernement à plusieurs reprises et l’on retient son intervention lors des débats budgétaires, qui a été qualifiée d’Indian Bashing. A chaque revers qu’il a essuyé lors de ses ‘point of orders’, les députés de la majorité ont jubilé et le Premier ministre l’a même qualifié de ‘rusty’. Arvin Boolell a tenu tête à la Speaker à plusieurs reprises et il a été même expulsé de l’hémicycle.
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