Vol avec violence à Bambous : trois malfrats ligotent un retraité et repartent avec un butin de Rs 688 000

Le 23 juillet à Bambous, un retraité de 66 ans a été ligoté et bâillonné chez lui par trois malfrats encagoulés et armés. Ils ont emporté Rs 688 000 en liquide, bijoux et téléphone avant de prendre la fuite.

Scène de terreur à la mi-journée, mercredi 23 juillet, dans une maison située sur la route principale de Bambous. Trois malfrats encagoulés, armés de sabres et de couteaux, et munis de bandes adhésives, ont fait irruption au domicile d’un homme de 66 ans. Ils ont ligoté le retraite avant de faire main basse sur un butin estimé à Rs 688 000, composé d’argent liquide, de bijoux et d’un téléphone portable.

L’homme se trouvait seul chez lui lorsqu’il a été alerté par les aboiements inhabituels de son chien. À peine sorti pour en vérifier la raison, il s’est retrouvé nez à nez avec les trois intrus. L’un d’eux a placé un couteau sous sa nuque pour le contraindre au silence. « Si ou pa kriye, nou pa pou fer ou nanie », lui aurait lancé l’un des agresseurs, selon la plainte consignée au poste de police.

Menacé et forcé à coopérer, le sexagénaire a été conduit dans une pièce où il a été bâillonné, ligoté sur son lit, et le visage recouvert d’un tissu. Les malfaiteurs ont ensuite fouillé la maison à la recherche d’objets de valeur. Au passage, ils ont endommagé plusieurs portes et une armoire. Ils ont quitté les lieux environ une heure plus tard, laissant le retraite ligoté et immobilisé.

Ce n’est qu’après avoir constaté le silence dans la maison que le retraité a réussi à se libérer. Il a alors découvert que les voleurs avaient emporté une somme de Rs 158 000 en espèces, des bijoux en or ainsi qu’un téléphone portable, qui se trouvaient dans un tiroir d’une commode.

L’enquête a été confiée aux éléments de la Criminal Investigation Division (CID) de Bambous, épaulés par les techniciens de la police scientifique (Soco). Des prélèvements ont été effectués sur place. Le sexagénaire, qui n’a pas été en mesure d’identifier ses agresseurs, a toutefois remis à la police des images provenant de son système de vidéosurveillance.