« Le ministre du Travail ne va tolérer aucune violence ni harcèlement contre les travailleurs ».
Ce sont les propos de Mariahven Caremben, conseiller en relations industrielles, au ministère de tutelle.
Il intervenait lors d’un atelier de travail axé sur la convention 190 de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) sur la violence et le harcèlement, ce mercredi matin, 21 juillet, à Port-Louis.
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L’initiative revient au Congress of Independent Trade Union.
Mariahven Caremben indique qu’il y a trois cas en ce moment, devant la Cour industrielle concernant la violence au travail.
Selon lui, les employés doivent se sentir en sécurité sur leur lieu de travail. « Pena okenn violans, okenn harselman ankor plis harselman seksiel vi a vi bann madam», souligne Mariahven Caremben.
Y était également présent, le président de la Confederation of Independent Trade Unions (CITU), Deepak Benydin. Il estime que l’employeur, les travailleurs la police, les hommes de loi doivent bénéficier d’une formation « pou ki pena violans ek harassment dan travayer ».
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