Le ministère de la Santé s'est retrouvé avec un cas de mix vaccinal. Il s’agit de deux habitants du Nord : un homme et une femme, âgés d’une cinquantaine d’années. Ils se sont fait administrer le vaccin Johnson & Johnson, la semaine dernière. Cependant, ils avaient déjà reçu une première dose du vaccin Sinopharm, il y a quelques semaines.
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L’affaire a été référée à la police. C’est la cellule de vérification de la campagne de vaccination qui a eu vent de cette affaire la semaine dernière. Cette unité du ministère de la Santé est chargée de faire le suivi des patients après chaque dose.
Sollicité pour réaction par Radio Plus, le Dr Sudhir Kowlessur, l’un des responsables de la campagne de vaccination anti-covid-19, demande au public de ne pas mettre en péril leur santé.
En cas de fausses informations sous la Quarantine Act, le contrevenant est passible d’une amende pouvant atteindre Rs 500 000 et d’une peine de prison pouvant aller jusqu’à cinq ans.
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