Y a-t-il un plan d’urgence pour les femmes violentées pendant le confinement? s’interroge Stéphanie Anquetil. Dans une déclaration faite à Radio Plus, ce samedi 13 mars, la députée du Parti travailliste est d’avis que le ministère de l’Égalité des genres et du Bien-être de la famille aurait dû pourvoir à un local temporaire pour elles.
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Stéphanie Anquetil affirme également que le personnel des ‘shelters’ doit se faire vacciner contre la Covid-19 pour la protection des enfants.
Sollicitée pour une réaction, la responsable de communication au ministère indique que « tout est sous contrôle ». Les 'care givers' des 'shelters' n’ont aucun contact avec l’extérieur.
Concernant les femmes victimes de violence, la hotline 139 est à leur disposition. La police traite les demandes de Protection order par WhatsApp et courriel, dit-elle.
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