Une peine d’emprisonnement ne dépassant pas dix ans et une amende n’excédant pas Rs 2 millions sous chaque accusation.
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C’est ce que risquent les prête-noms s’ils sont poursuivis sous la section 3 de la Financial an Anti Money Laundering Act (FIAMLA), soit pour blanchiment d’argent.
L’avocat Alwin Juwaheer, qui intervenait sur les ondes de Radio Plus ce vendredi 2 août, souligne que ce délit est très sévèrement sanctionné par la loi.
Pour rappel, la commission anti-corruption a procédé à l’arrestation de trois prête-noms de Ricardo Agathe, ce vendredi matin 2 août. Ils sont passés aux aveux lors de leur interrogatoire. Les trois suspects ont reconnu avoir accepté que des véhicules achetés par le trafiquant présumé Ricardo Agathe, soient enregistrés à leur nom.
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