Moments de tristesse : Ils n’ont pas le cœur à la fête 

Accablés par le décès d’un proche, la perte d’un emploi, une séparation ou encore leur enfant qui a perdu son combat contre la maladie ou d’autres qui se battent encore pour trouver des fonds pour leurs soins, les festivités ont un goût amer. Cette période rend la période de fête encore plus difficile… 

La petite Shanvi doit subir une nouvelle intervention chirurgicale 

Encore une intervention pour la petite Shanvi. Une autre dure épreuve pour cette fillette de 3 ans qui a une malformation au cœur. Malheureusement son petit cœur ne battait qu’à 30 %. Après son opération, l’enfant a eu des difficultés respiratoires, ce qui a compliqué la situation. Elle est toujours en traitement intensif et les frais médicaux ne cessent d’augmenter. 

Pour les parents de la petite fille ainsi que pour ses autres proches, difficile de faire la fête dans ces conditions. Ils ont tous le cœur gros de savoir Shanvi connectée à tous ces appareils et luttant pour aller mieux. 

Ils font un ultime appel à la générosité de tous ceux qui peuvent contribuer pour les frais médicaux. 
Pour faire un don – 000447982133 – MCB – IBAN – MU39MCBL090100 0447982133000MUR – SWIFT CODE – MCBMUMU
Tout geste de votre part fera la différence. 

Vaani souffre de la séparation de ses parents 

À 17 ans, la jeune fille a du mal à accepter que ses parents ne se soient plus ensemble. Alors que le couple battait de l’aile depuis deux ans, ils ont décidé de se séparer, il y a deux mois. Pour l’adolescente, c’est un vrai coup dur. « C’est le moment le plus triste de l’année pour moi », dit-elle.

Pour la première fois, Vaani devra passer quelques jours chez son père puis chez sa mère pour les fêtes. Une vraie déchirure pour elle. « Je me sens très mal. Même s’il ne se parlait pas, j’avais l’habitude de passer des belles fêtes avec mes deux parents.Pour Noël, j’ai passé toute la journée à pleurer, car pour moi, le plus beau cadeau demeure la famille. J’ai l’impression que plus rien ne sera comme avant », confie la jeune fille. 

Elle en a fait part à ses parents et ses derniers lui ont dit qu’ils ne pourront malheureusement pas se remettre ensemble et espèrent qu’elle se montrera compréhensive. 

Il a perdu sa fille

Elle n’avait que 3 ans, mais elle a rendu l’âme après un fâcheux incident. Elle n’a pas survécu à ses brûlures et deux semaines plus tard, un infirmier l’a contacté pour lui dire que l’enfant n’est plus. 

« C’est une douleur atroce. Je n’ai pas de mots pour expliquer ce que je ressens. De plus, mes autres enfants ne sont pas avec moi. J’espère que je les reverrai très bientôt. Le plus dur, c’est qu’ils ne savent pas encore que leur sœur est morte. Je ne sais pas comment leur expliquer tout cela. Comment en parler à son frère jumeau ? » explique ce père. 

Il avance que pour le moment, il est en pourparlers avec les autorités pour qu’elles acceptent de lui rendre ses enfants. « Je ne suis rien sans mes enfants. J’ai besoin d’eux pour affronter cette épreuve et je promets de bien m’occuper d’eux », soutient-il. 

Espérons que 2021 sera une meilleure année pour lui... 

À quelques jours des fêtes, sa maison prend feu

Un moment dur pour Marie Michèle et ses deux enfants. Alors qu’ils se préparaient tous à célébrer Noël ensemble dans la joie, ils ont été surpris un soir par un feu qui a éclaté chez les voisins. L’incendie a malheureusement endommagé la maison de la jeune femme. 
« Comme les murs sont en dur, nous avons eu un peu plus de chance. Mais nous avons perdu tous nos vêtements, les meubles et les appareils électroménagers », avance la mère de famille. 

Cette habitante de la capitale, explique qu’elle avait acheté quelques décos pour sa maison malgré son maigre budget.  « Résultat : nous sommes de retour à la case départ. Nous n’avons pas de provisions et il n’y a pas d’électricité dans la maison. Toutefois, nous essayons quand même de nous réjouir de ne pas être à la rue », dit-elle.

Marie Michèle lance un appel à toute personne qui pourrait lui venir en aide en lui donnant des provisions, des vêtements ou des meubles. 
Pour toute aide, vous pouvez appeler la rédaction au 208 6002 et laisser vos coordonnées, car malheureusement elle n’a pas de téléphone. 
 

Perte d’emploi à cause de la pandémie : Moment difficile pour un père de famille

Ne pas pouvoir offrir des jouets à son enfant pour Noël est là une grande tristesse pour Jonathan. Ce père de famille a perdu son emploi pendant le confinement dû à la Covid-19. Malheureusement à ce jour, il n’a bénéficié d’aucune compensation. 

« Comme ma femme ne travaille pas, car elle est malade, nous nous sommes retrouvés en grande difficulté. J’ai essayé de trouver des petits boulots, ici et là. Mais je travaille pour deux jours et puis pendant 10 jours je suis sans emploi », raconte-t-il. 

Il avance qu’il a de la chance d’avoir le soutien de sa famille qui a fait en sorte que son fils ait quand même deux cadeaux au pied du sapin. 
Pour lui 2020 est l’année de tous les martyres. Vivement la nouvelle année.