C'est une déclaration du vice-Président de la République, ce vendredi matin, 20 novembre, au Plaza, dans le cadre de la Journée internationale des droits de l’enfant, organisée par la United Nations Association of Mauritius.
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Eddy Boissezon affirme qu’il y a des décisions qui sont prises et qui ne sont pas dans l’intérêt des enfants. Il donne pour exemple la question du logement. Selon lui, parfois la sécurité des enfants n’est pas garantie. Il parle aussi des enfants qui dorment à la belle étoile : « …Nou pa kapav permet zordi ki bann zanfan dormi a la bel etwal zis pou bann rezon politik ».
Invité à expliquer le sens de sa déclaration sur « les décisions prises qui souvent vont à l’encontre de la sécurité des enfants » et ses propos sur les enfants qui dorment à la belle étoile, le vice-Président de la République explique qu’effectivement il a réaffirmé que toute décision prise doit l'être en ligne avec la convention des droits des enfants.
Il est beaucoup plus nuancé sur la question des enfants qui sont à la rue. Eddy Boissezon précise ainsi qu’il n’a pas eu en tête un cas spécifique.
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