Lucy Sheryl Chung Tak Cheung :
Publicité
« Le système de lauréat est bien. Cela permet aux élèves du HSC de décrocher une bourse pour faire des études supérieures. Mais je pense qu’il faut améliorer le système et inclure plus de filières comme le sport etc. Ça permettra à plus d’élèves qui excellent dans ce domaine d’avoir des bourses d’études comme cela se fait à l’étranger. »
Paridhi Seetaram :
« Concourir pour devenir lauréate, c’est beaucoup de pression. Mais ce système nous motive à mieux travailler. Avec cette opportunité, je peux faire mes études à l’étranger sans que ce soit un fardeau financier pour mes parents. Mais bien sûr, tout système mérite d’être amélioré pour donner plus de chances aux autres. »
Ishita Ramsurrun :
« Concourir pour être lauréate est très stressant. Mais cela donne une opportunité aux élèves de décrocher une bourse d’études tous frais payés. Je pense qu’il faut donner plus d’opportunités à plus d’élèves en mettant d’autres bourses. »
Leana Sanasy :
« Je trouve que c’est un bon système. Cela pousse les élèves à se donner à fond. C’est une tradition qu’il faut garder. »
Geetika Noruttun :
« S’il n’y avait pas ce système de lauréats, j’aurais peut-être dû faire mes études à Maurice. Mais ce système stresse beaucoup les élèves, je pense qu’il faudrait le modifier pour qu’il le soit moins à l’avenir. »
Sanjana Beharry :
« Ce serait hypocrite de ma part de dire de l’abolir. Ce système me permet d’avoir une bourse qui couvrira mes frais universitaires à l’étranger. Et d’année en année, il permet à de nombreux élèves de faire leurs études à l’étranger. Malgré la pression de la compétition, je dirais qu’il y a toujours ‘room for improvement’ pour donner encore plus d’opportunités aux autres. »
Isha Ghoorah :
« Ce financement nous permet de poursuivre nos études en toute quiétude à l’étranger sans que nos parents aient une pression additionnelle. Tout le monde a la chance d’être lauréat, sauf que les bourses sont limitées. Il faudrait peut-être en ajouter plus. »
Ankita Soneeram :
« Ce système de lauréat m’a permis d’ôter un gros ‘Financial Burden’ des épaules de mes parents. Il ne doit pas être aboli mais il faut trouver des alternatives pour rendre la compétition plus saine. »
Hafsah Bibi Joomun :
« Ce système m’a permis d’avoir une bourse d’études. Je ne voulais pas que mes parents payent mes frais universitaires. Il a ses bons et ses mauvais côtés. Mais il nous motive à nous surpasser dans nos études. »
Ajay Kumar Bissoonauth, recteur du QEC :
« Le système de lauréats est une tradition. Je ne pense pas qu’il doit être aboli. Ça récompense les meilleurs élèves. Avec l’introduction des nouvelles bourses, plus d’élèves ont la chance d’en décrocher une. C’est stressant oui, mais c’est aussi une opportunité. Je pense que pour donner la chance à beaucoup d’autres enfants, on pourrait en introduire d’autres, selon les moyens. »
Notre service WhatsApp. Vous êtes témoins d`un événement d`actualité ou d`une scène insolite? Envoyez-nous vos photos ou vidéos sur le 5 259 82 00 !