Olesya Pydannah a fait servir une mise en demeure à l’État, au ministre de la Santé Kailesh Jagutpal, au Regional Public Health Superintendent Mahmad Fazil Khodabocus, à l’ancien membre du conseil d’administration de l’Information and Communication Technologies Authority Kaushik Jadunundun, au surintendant de police Dilmahamod et au Deputy Commissioner of Police Hemant Jangi. La tarologue, connue sous le nom d’Olesya Paradis, leur réclame des dommages de Rs 300 millions.
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Raison : elle estime que son arrestation le 21 mars 2020 était arbitraire et que ses droits ont été bafoués. Elle dit avoir subi des humiliations. Selon elle, toute cette affaire l’a traumatisée et leur a causé beaucoup de préjudice à sa famille et à elle. Sans compter le fait que sa réputation a été ternie après son séjour en prison.
Dans sa mise en demeure rédigée par l’avouée Vasanta Atmarow, Olesya Pydannah, d’origine russe, affirme qu’elle avait été arrêtée aux petites heures le 21 mars 2020 par des officiers du Central Criminal Investigation Department. Elle précise qu’elle avait ensuite été provisoirement inculpée de violation de l’Information and Communication Technologies Act.
La tarologue avait été arrêtée après avoir posté une vidéo sur les réseaux sociaux dans laquelle elle parlait du coronavirus. Ce n’est que le 30 mars 2020 qu’elle a recouvré la liberté après s’être acquittée d’une caution de Rs 40 000 et après avoir signé une reconnaissance de dettes de Rs 150 000.
Olesya Pydannah a précisé que l’accusation provisoire dont elle faisait l’objet a par la suite été rayée. Elle a retenu les services de l’avocat Sanjeev Teeluckdharry.
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