Praticabilité des routes et disponibilité des transports ont été parmi les facteurs pris en compte par les employeurs du secteur privé pour la reprise. Selon Pradeep Dursun, celle-ci s'est faite selon l'appréciation de l'employeur.
Le mode opératoire pour assurer la continuité des opérations varient en fonction des entreprises. L'heure à laquelle l'avertissement cyclonique a été enlevé a-t-elle entravé l'organisation pour la reprise? « Nous avons acquis de l'expérience concernant les intempéries. La météorologie n'est pas une science exacte et nous devons faire confiance à nos institutions », soutient Pradeep Dursun. Difficile néanmoins, pour le COO de Business Mauritius d'avancer le taux de présence dans le privé en ce jeudi 3 février. D'ailleurs la reprise n'a pas été d'actualité dans des secteurs comme la construction et l'agriculture. « Certains employeurs ont décidé de ne pas reprendre leur activité aujourd'hui. Cela démontre que travailler dans le privé est hétérogène et non homogène », a-t-il argué.
Par ailleurs, le nombre d'employés en poste est appelé à augmenter graduellement en ce jour. Cela dépendant des divers secteurs d'activités et des différents horaires de travail comme dans le BPO.
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