« Notre flotte d’avions devait être prête lors de la réouverture des frontières qui devait se dérouler à plusieurs degrés. La réouverture des frontières se déroule sans l’épine dorsale du secteur de l’aviation, Air Mauritius », avance Nando Bodha face à la presse vendredi au Caudan Arts Centre à Port-Louis. Le problème, poursuit-il, est que « les variants ne peuvent être maîtrisés à Maurice ». « Alors, comment pourrait-on maîtriser la situation une fois les frontières rouvertes ? », demande-t-il.
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Selon le leader du Rassemblement Mauricien, il n’y aurait « pas de synergie et de dynamique pour rouvrir les frontières ». Il estime que la Mauritius Tourism and Promotion Authority (MTPA), la Tourism Authority (TA), les opérateurs touristiques et la compagnie aérienne locale auraient dû travailler dans la promotion du pays sur la carte du monde.
L’ex-ministre des Affaires étrangères a également commenté la situation au sein de la compagnie aérienne Air Mauritius. Selon lui, « la situation au sein d’Air Mauritius démontre ce qui est en train de se passer dans le pays ». Le leader du Rassemblement Mauricien dit « ne pas comprendre » comment la compagnie s’est retrouvée sous administration volontaire étant donné que les ‘Cash and cash equivalents’ sont de 46 694 euros et que le Total liabilities est de 609 526 euros.
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