Ce mardi marque la Journée mondiale de la malbouffe, plus connue comme le « Junk Food World Day ».
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Dans une étude publiée en 2019 la revue The Lancet avait souligné que la mauvaise alimentation est associée à un décès sur cinq dans le monde, soit 11 millions de personne décédées.
Cette étude intitulé : « Health effects of dietary risks in 195 countries, 1990–2017: a systematic analysis for the Global Burden of Disease Study 2017 » fait ressortir le fait que la malbouffe tue plus que le tabac ou l’hypertension.
Cette journée mondiale est l’occasion d’attirer l’attention des Mauriciens sur les mauvaises habitudes alimentaires qui ont tendance à prendre le dessus sur notre quotidien.
Une habitude alimentaire qui a connu quelques changements durant la période de confinement faute de fastfood et ou car nous avions plus de temps pour cuisiner.
Mais est-ce-que le confinement a été bénéfique aux Mauriciens ?
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