Le document décrypte les méthodes utilisées par les trafiquants de drogue pour blanchir leurs gains. Ceux emprisonnés recrutent plusieurs personnes pour faire fructifier le business, fait ressortir le rapport.
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Généralement, ces personnes utilisent les casinos, les maisons des jeu et les courses hippiques pour arriver à leurs fins, selon l’équipe d’enquêteurs de l’ancien juge Paul Lam Shang Leen.
Le blanchiment d’argent est rendu possible par millions durant les soirées aux casinos et aussi pendant les journées hippiques. C’est pourquoi Paul Lam Shang Leen et ses assesseurs réclament des modifications à la loi pour combattre le fléau.
D’autres cas de blanchiment d’argent se font par le truchement de « pions » qui constituent un véritable réseau. Ils achètent et revendent des voitures, font des acquisitions immobilières, achètent des bateaux, des bijoux et des devises.
La commission dit avoir noté que plusieurs institutions ont été mises sur pied pour combattre le blanchiment d’argent, mais qu’il existe un « overlapping of duties ». Elle recommande des actions contre les trafiquants qui utilisent leurs cartes de crédit pour miser gros aux casinos et qui, par la suite, effectuent des dépôts pour combler leurs dettes de jeux.
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