Le leader du Reform Party poursuit sa virée dans la circonscription no 20. Après plusieurs réunions, il a rencontré quelques habitants des morcellements d’Albion où il habite. Il était accompagné de ses deux colistiers pour une séance de questions-réponses. Au menu des discussions : le Petroleum Hub, CT Power, l’insécurité et la pollution sonore, entre autres.
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Roshi Bhadain a lancé un appel à ceux qu’il a rencontrés et qui lui ont dit qu’ils ne voteraient pas. Cela concernerait, selon lui, au moins 14 000 personnes. « Zot dir nanie pa pou sanze. Ne pas voter c’est ne pas sanctionner les bandits. C’est comme au no 18 où 20 000 personnes n’avaient pas voté. Aujourd’hui elles le regrettent. Certains me demandent pourquoi je ne suis pas candidat à Belle-Rose/Quatre-Bornes. J’ai décidé d’être candidat là où j’habite jusqu’à la fin de ma carrière politique. »
Il explique que voter ne signifie pas uniquement élire un gouvernement. « Vous ne voulez pas d’un 60-0, n’est-ce pas ? Il est donc tout aussi important de voter pour une opposition solide. Aucun parti, selon moi, n’obtiendra plus de 30 sièges. »
Répondant à une question émanant de l’assistance, il a expliqué pourquoi il s’est identifié comme appartenant à la population générale. « Quand je serai élu, je représenterai tout le monde, indépendamment de leur religion, même ceux qui n’ont pas voté pour moi. » Il recommande un amendement de la Constitution pour que tout le monde soit reconnu comme étant mauricien. Roshi Bhadain a précisé que les dépenses du Reform Party sont grandement financées par des partisans qui vivent à l’étranger.
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