Les ‘drug tests’ sont opérationnels depuis le 6 juin dernier. Depuis, deux automobilistes ont été pris en contravention, dans la région de Flic-en-Flac, par des éléments de la Traffic branch de la police. Des substances illicites ont été décelées dans leurs urines. La police est dans l’attente du rapport du Forensic Science Laboratory (FSL) afin de procéder à la marche à suivre. Des hauts gradés de la Traffic branch avancent que ces contrôles sont menés en fin de semaine à travers le pays. Cela, en parallèle aux exercices d’alcootest. Ces derniers précisent toutefois qu’avant de procéder aux ‘drug tests’, « un sens de l’observation très aiguisé » est requis. C’est-à-dire, les conducteurs sont soumis à des ‘drug tests’ uniquement ‘under reasonnable suspicion’. Ce, contrairement à l’alcootest. C’est la raison pour laquelle seulement deux automobilistes ont été verbalisés depuis la mise en opération du projet.
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La Traffic branch explique qu’un bon nombre d’officiers issus de divers postes de police du pays ont été formés dans la manipulation des ‘Drug kits’ depuis l’introduction de ces appareils au début de l’année. Seul ‘hic’ : les policiers ont été appelés à ‘aiguiser’ leurs vues. « Les ‘drug tests’ requièrent un sens de l’observation très poussé. La drogue est inodore, contrairement à l’alcool qui se sent de loin », fait-on comprendre.
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