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Krishna Luchoomun : «Que le confinement permette une prise de conscience»

Créer une œuvre d'art publique avec la collaboration d'autres artistes pour rappeler aux générations futures de cette mauvaise épreuve passée, c'est l'idée de Krishna Luchoomun, fondateur de l'association ParTage après le confinement. Une idée qu'il mettra en œuvre avec plusieurs autres artistes.

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 « Nombreux sont ceux qui ont trouvé du réconfort dans la musique, les livres, les films, les dessins animés, les visites de musées virtuels. Qu'auraient-ils fait sans l'art? ». C'est une question que vient poser l'artiste Krishna Luchoomun.  Son souhait, c'est que le confinement ait permis une prise de conscience. 

« Tout comme la nature, l'art est présent dans notre vie quotidienne mais il est très souvent pris pour acquis. Beaucoup ne réalisent pas la quantité de travail, de recherche et de sacrifice derrière chaque création. Les artistes mettent non seulement leur savoir-faire, leur talent, leur temps et leur énergie dans leur création, mais ils investissent beaucoup émotionnellement. C'est ce qui rend l'art spécial.»

Cette période de pandémie étant  inédite, Krishna Luchoomun souhaite l'immortaliser dans une œuvre d'art public. « Après le confinement, je vais solliciter la collaboration d'autres artistes pour mettre en place cette œuvre afin que les générations futurs se souviennent de cette mauvaise épreuve que l'humanité a vécu  en 2020 ».

 

  • LDMG

 

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