Me Satyajit Boolell déplore des atteintes à la présomption d’innocence…
Dans la Newsletter du bureau du Directeur des poursuites publiques, il affirme qu’il ne se passe un jour que les noms des suspects sont jetés en pâture. Et par la suite on découvre que ces personnes étaient innocentes. Pour le grand public, avide de scandales, ce principe n’est pas respecté.
La liberté de la presse ne peut pas être une excuse pour enfreindre la protection de la vie privée.
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