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Le Grand Journal - Universités étrangères : la course est ouverte

«Études à l’étranger : le mode d’emploi. » C’est le sujet abordé jeudi dans Le Grand Journal de Radio Plus.

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Jean-Luc Émile a accueilli des représentants de Campus France, d’IDP, d’Overseas Education Centre (OVEC) ainsi que le conseiller de l’éducation aux États-Unis. Le choix d’une destination pour les études supérieures se fait surtout par rapport au coût. Mais les agences estiment que le critère le plus important est la filière. Anne-Gaëlle Chinnarassen, de Campus France, et Dorish Chitson d’OVEC, sont unanimes sur ce point.

L’Australie, la destination no 1 des étudiants mauriciens, offre un avantage majeur : l’obtention d’un permis de travail et d’un visa de trois ans après deux ans d’études. C’est cependant une des destinations les plus chères avec le Royaume-Uni. Il faut compter plus d’un million de roupies par an pour un étudiant.

En France, l’étudiant peut travailler 20 heures par semaine. Il doit avoir sur son compte 650 euros par mois pour le visa. Il peut aussi opter pour une alternance études/travail, ou encore se faire aider par la Caisse d’allocations familiales. Le Canada est le seul pays à pratiquer ce qu’on appelle le Co-Op, c’est-à-dire que les universités sont en symbiose avec l’industrie. Le gros avantage du Canada c’est que dès qu’on commence à travailler, on a 600 points d’avance sur une éventuelle demande de visa permanent. Une année d’études au Canada tourne autour de Rs 600 000. 

Quid des États-Unis ? Le moyen le plus simple est de décrocher une bourse offerte par les universités ou de bénéficier de la Financial Aid du gouvernement américain. Sans subvention, une année d’études peut revenir à plus de Rs 2 millions.

  • LDMG

 

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