Les amateurs d’hippisme devront prendre leur mal en patience : pas de courses jusqu’à nouvel ordre, comme annoncé par le Premier ministre, Pravind Jugnauth le 1er mai dernier.
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Cependant, des propriétaires de chevaux disent être dans l’impasse. Ils n’ont pas de revenus depuis cinq mois. Environ 2 000 familles sont concernées par cette situation.
Le Mauritius Turf Club est, pour sa part, déjà dans le rouge avec un déficit avoisinant les Rs 5, 2 millions pour l’année financière écoulée. Les parties prenantes optent pour le huit-clos, cependant, la décision finale reviendra au gouvernement.
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