Tester la rapidité et l’efficacité des services d’urgences face à une situation extrême. C’est dans cet objectif qu’un exercice de simulation d’un crash aérien a eu lieu jeudi.
Le lagon de Blue-Bay a été le théâtre d’une simulation de crash aérien, à proximité de l’aéroport international SSR, jeudi matin. L’exercice mettait en scène le vol Bird Air BR911, qui venait de décoller, transportant à son bord 51 personnes, dont 4 membres d’équipage.
Le scénario de cette simulation a démontré la capacité des équipes de secours et de sauvetage à gérer une situation d’urgence extrême. Selon le scénario fictif, le vol Bird Air BR911 a rencontré des problèmes techniques majeurs peu après le décollage. Les pilotes ont rapidement alerté les contrôleurs aériens et ont tenté un amerrissage forcé au large de la côte. Les équipes de secours ont immédiatement été mobilisées, dont les plongeurs de la garde-côte nationale.
Selon le scénario, 44 passagers ont survécu à l’incident, mais 5 autres, ainsi que 2 membres d’équipage ont péri. L’exercice a également simulé l’évacuation médicale d’urgence des blessés, 27 au total, vers l’hôpital Jawaharlal Nehru à Rose-Belle.
L’objectif principal de cet exercice était d’évaluer la rapidité et l’efficacité de la réponse des services d’urgences, de mettre en évidence les points forts et les points faibles du plan de secours actuel, et de garantir la sécurité maximale des passagers en cas de véritable accident aérien. Les autorités ont souligné l’importance de maintenir des niveaux élevés de préparation pour faire face à de telles situations et de continuer à améliorer les protocoles de secours en cas d’urgence.
Observateurs, garde-côtes, ambulanciers, pompiers et autres unités du secteur médical et de l’ordre sont réunis au poste de la NCG de Blue-Bay pour l’exercice de simulation.Le déploiement du kit de sauvetage en mer a permis d’offrir une assistance immédiate aux rescapés pour les ramener vers la terre ferme en toute sécurité.Évacuation des blessés vers les centres de soins grâce à la coordination des secouristes.L’avion accidenté a pris feu, mais l’équipe d’ATOL a vite réagi pour contrôler et éteindre les flammes grâce au bateau-pompe à incendie.La SMF a aménagé des chapiteaux d’urgence, où les premiers blessés sont accueillis pour un triage en fonction de la gravité de leurs blessures.Les équipes de secours travaillent sans relâche pour garantir la sécurité des survivants.Forte mobilisation policière pour sécuriser les lieux et faciliter le travail des équipes médicales.Simulation d’incendie d’avion de ligne réaliste, avec des barils de kérosène en feu, pour former à la gestion des crashs aériens.L’arrivée rapide de la garde-côte nationale a été cruciale pour la gestion de la situation d’urgence.Les premiers passagers blessés ramenés à la terre ferme bénéficient de l’assistance des équipes du Samu et des membres de différentes unités de la police.Efforts coordonnés entre les secouristes, les ambulanciers et les forces de l’ordre afin d’assurer que les blessés reçoivent des soins sans délai.Après le crash en mer d’un avion de ligne transportant 51 personnes, les survivants se retrouvent à l’eau.Vérification de l’identité des blessés.Les secouristes de la police et les sapeurs-pompiers travaillant de concert pour évacuer les blessés.Les secouristes à l’oeuvre pour stabiliser les blessés.Les centres de triage ont été mis en place pour évaluer la gravité des blessures des victimes, permettant ainsi de prioriser les évacuations vers les établissements hospitaliers.Évacuation rapide des blessés vers l’établissement de santé le plus proche afin qu’ils soient promptement pris en charge.
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