L’Anti-Drug and Smuggling Unit (Adsu) compte solliciter l’aide d’Interpol dans l’affaire Gurroby. Le bureau basé aux Casernes centrales rédige actuellement un dossier qui sera envoyé au quartier général d’Interpol, en France. Il nous revient que l’Organisation Internationale de police criminelle sera sollicitée pour une raison spécifique afin de connaître la provenance des 243 kilos d’héroïne et 27 kilos de haschich qui avaient été saisis, à Pointe-aux-Canonniers, le 2 mai 2021.
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À ce stade, les enquêteurs de la brigade anti-drogue sont en présence d’un rapport du Forensic Science Laboratory qui confirme la pureté de la drogue saisie. Désormais avec l’aide d’Interpol, ils veulent savoir d’où proviennent ces stupéfiants. Les limiers n’excluent pas l’option que la drogue soit arrivée d’Afrique du Sud, en raison de son emballage mais aussi de sa pureté et sa texture.
Au niveau de l’enquête, c’est un cercle fermé de policiers qui travaillent sur ce dossier qui est suivi de près par le patron de l’Adsu, le Deputy Commissioner of Police, Bhojoo.
Jusqu’ici, lors de leurs interrogatoires, les suspects n’ont pipé mot sur les questions ayant trait à la provenance de cette drogue.
Selon nos renseignements, des développements majeurs sont attendus prochainement dans cette affaire.
Rappelons que plus de cinq personnes ont été arrêtées dans le cadre de cette enquête.
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