La déscolarisation, la grossesse précoce et les formes de violence sexuelle… autant de facteurs qui entravent les droits des jeunes filles à Maurice. C’est le constat de l’Ombudsperson for Children, Rita Venkatasawmy, en cette Journée internationale de la fille.
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Selon Rita Venkatasawmy « Informer et éduquer dès le plus jeune âge sur leurs droits permet de préparer les leaders de demain ».
Les professionnels sont unanimes : l'éducation ne se fait pas uniquement à l’école, mais elle démarre au sein de la cellule familiale.
L'Ombudsperson for Children met l’accent sur l’importance de respecter le droit des jeunes filles pour en faire des leaders de demain.
Un avis partagé par l’anthropologue Jonathan Ravat qui plaide, lui, pour une éducation sans discrimination entre les filles et les garçons.
La citoyenne engagée, Saffiya Chady Edoo, mère de famille et citoyenne engagée, affirme que l’apprentissage des valeurs pour le respect des droits commence à la maison.
La situation des filles, bien qu'elle ait évolué avec le temps, demeure préoccupante pour les autorités.
Le thème choisi par l’ONU en cette journée est celle-ci « génération numérique, notre génération ».
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