Le travailleur social Danny Philippe est intervenu mercredi dans le cadre d’une journée de réflexion axée sur les drogues illégales.
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Le travailleur social et porte-parole du collectif LEAD Danny Philippe déplore l’absence de centres spécialisés en désintoxication et réhabilitation destinés aux mineurs dépendant à la drogue. Il intervenait lors d’une journée de réflexion axée sur les drogues illégales, organisée par le Youth for Christ Resource Centre, le mercredi 2 novembre.
Dans son exposé, Danny Philippe a parlé des premières drogues ayant fait leur apparition dans le pays ainsi que des premiers décès par overdose. Il a rappelé que la drogue de synthèse gagne du terrain, surtout chez les jeunes.
« Le gros problème, c’est que nous n’avons pas de centre spécialisé destiné aux mineurs dépendants à la drogue. Les médecins du public ont peur de leur prescrire des médicaments par crainte que cela leur fasse plus de mal, car ces traitements sont destinés aux adultes », a fait ressortir le travailleur social.
Deux éléments de l’Anti-Drug and Smuggling Unit étaient présents à cette journée de réflexion. Ils ont abordé les méfaits de la drogue sur le corps humain. D’autres intervenants, tels que les représentants des collectifs APPEL et CUT, ont également pris la parole.
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