Live News

Accusé sur les réseaux sociaux d’être mêlé à la mort de Kistnen : Radhakrishna Comaren, directeur de Securisure Ltd, saisit le CCID

Radhakrishna Comaren, directeur de Securisure.

Accusé sur les réseaux sociaux d’être impliqué dans la mort de Kistnen, Radhakrishna Comaren, directeur de Securisure Ltd, a saisi le CCID. Il dénonce une campagne malveillante ternissant sa réputation et impactant son entreprise de sécurité.

Publicité

Radhakrishna Comaren, directeur de la société de sécurité Securisure, a déposé plainte au Central Criminal Investigation Department (CCID) après avoir été la cible d’accusations de meurtre sur les réseaux sociaux. Ces accusations incluent notamment l’affaire de l’agent politique Soopramanien Kistnen, ainsi que les dossiers Denis Fine et Yoven Velangany. Dans sa déposition enregistrée le 23 juin, il dénonce un délit sous l’Information and Communication Technologies Act (ICTA). Il a remis aux enquêteurs plusieurs captures d’écran de publications Facebook et de clips TikTok le mettant en cause.

Radhakrishna Comaren soupçonne que ces contenus proviennent de personnes liées à des entreprises concurrentes dans le secteur de la sécurité. Selon lui, des allégations infondées l’associent aux décès de Soopramanien Kistnen, Denis Fine et Yoven Velangany. Il affirme n’avoir jamais eu de lien avec ces individus de leur vivant. « Zame monn konn sa ban dimounn-la kan zot ti vivan », déclare le directeur de Securisure au Défi Media Group, ajoutant qu’il fait pleinement confiance à la police. « Sa zafer-la pe terni mo limaz ek pe afekte mo fami », déplore-t-il.

Âgé de 65 ans, Radhakrishna Comaren se dit inquiet pour l’avenir de son entreprise, qui pourrait être impactée négativement par ces accusations, qualifiées de « malveillantes ». Il insiste sur le fait que sa société a obtenu plusieurs contrats grâce à son expertise et à la compétence de ses équipes. Il condamne fermement ces tentatives de dénigrement à son encontre et contre ses proches. « Mo madam ek mo zanfan pena nanye pou fer ladan, selma zot pe met banla lor Facebook », dit-il.

Au niveau de l’enquête, l’IT Unit de la police a déjà sécurisé les preuves numériques, incluant des liens et captures d’écran. Une deuxième plainte a été déposée par Radhakrishna Comaren le 27 juin. L’enquête suit son cours, notamment au niveau de la Cybercrime Unit, qui tente d’identifier les auteurs des publications incriminées. « Nou dimann la polis azir vit, parski se mo kredibilite ek repitasion mo lantrepriz ki an zwe », insiste Radhakrishna Comaren.

 

Notre service WhatsApp. Vous êtes témoins d`un événement d`actualité ou d`une scène insolite? Envoyez-nous vos photos ou vidéos sur le 5 259 82 00 !