C’est le premier ouvrage d’un jeune de 19 ans, en fin d’études au collège St-Mary’s. C’est aussi l’aboutissement d’une première étape de réflexion sur sa génération, à qui l’auteur Gregory Augustin, souhaite adresser un message positif contre la tendance ambiante à la démotivation. Dans ce livre, intitulé « Dream and Realisation », on ressent une forte influence des « coachers » américains, épris de productivisme et de « vibrations positives ».
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Mais au-delà des clichés, le jeune homme se projette lui-même comme exemple : tout petit, il était déjà animé d’une âme d’entrepreneur basé sur la conception des bijoux. Plus tard, il a fini par monter sa petite entreprise en ligne et à domicile, engagée dans la bijouterie qu’il destine au marché américain. Ce qui explique son recours à l’anglais pour son livre.
Rêver ses ambitions, dit-il, ne suffit pas, encore faut-il que s’ensuit le passage à l’acte. Mais, tout le monde, reconnaît-il, n’est pas prêt à franchir ce premier pas, qui ressemble à un obstacle. Si l’accomplir est déjà un défi qui a été surmonté et qui motive à poursuivre le parcours. Fixer un objectif et se donner les moyens de l’atteindre s’imposent à tout individu ambitieux. Mais Gregory Augustin met aussi en garde contre la tentation de voir trop grand et trop vite, de petits objectifs sont mieux que de s’empêtrer dans ceux difficiles à réaliser.
Les actions, la discipline, la foi, la persévérance, la bonté, la bonne humeur sont aussi les clés indispensables dans la poursuite de ces objectifs, car et en fait, le jeune auteur place l’individu au cœur de ses actes et peu importent les échecs, renchérit-il, car ils permettent à chacun de prendre la mesure de ses potentiels.
« Dream and Realisation » (112 pp) de Gregory Augustin.
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