Elles avaient contracté des prêts auprès de l’état pour tenter de retourner dans le vert. Ces huit institutions parapubliques, à savoir la Banque de Développement, le Central Electricity Board, la Central Water Authority, la National Housing Development Company, la Mauritius Broadcasting Corporation, la Mauritius Shipping Corporation, Airports of Mauritius et la Wastewater Management Authority, doivent quelque Rs 2,7 milliards à l’état.
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L’heure est désormais au remboursement. Selon un plan établi par le ministère des Finances, cet argent doit être dans les caisses de l’État d’ici juin 2019. Une circulaire a été adressée aux directeurs de ces huit organismes.
Ils sont donc tenus d’assainir la situation financière de leurs institutions respectives et de respecter l’échéance de juin 2019. À en croire une source proche du dossier, ces organismes éprouvaient des difficultés financières et ont ainsi bénéficié d’emprunts de l’État afin de démarrer des projets pour relancer leurs affaires.
Vu qu’aujourd’hui les choses se sont améliorées et qu’ils font des profits, ces organismes doivent procéder au remboursement de ces prêts. Ils devront, selon le plan établi par le ministère des Finances, rembourser un peu plus de Rs 2 milliards à juin 2017, Rs 321 millions à juin 2018 et Rs 371 millions à juin 2019.
Dates d’écheance des remboursements (les chiffres sont en millions de roupies)
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