Avant de parler de dépénalisation du cannabis, il faut voir si nous avons les structures institutionnelles, affirme la présidente de la République Ameenah Gurib-Fakim mercredi 3 août lors du séminaire « Youth Forum: towards a drug free society ».
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Pour Ameenah Gurib-Fakim, l’île Maurice n’est pas encore prête pour dépénaliser le cannabis. Elle prend position pour une répression plus sévère envers les consommateurs et les trafiquants de drogue.
« Les autorités et les institutions doivent maintenir leurs efforts dans le combat contre le trafic de drogue, ainsi que l’usage illégal et abusif de la drogue. Nous devons mener une lutte sans merci contre les trafiquants de drogue.
« Avant de parler de dépénalisation, il faut qu’on ait les structures institutionnelles appropriées pour une telle mesure. Si nous n’avons pas de telles structures, on ne peut venir de l’avant avec des arguments creux sur la question », estime Ameenah Gurib-Fakim.
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