La vente des voitures de seconde-main d’origine japonaise est en nette progression. Selon le président de la Dealers in Imported Vehicle Association (DIVA), Zaid Ameer, d’ici au 30 juin 2017, les ventes atteindraient 3 500 d’ici au 30 juin et 6 000 à la fin de 2017.
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« C’est une preuve que les Mauriciens ont une nette préférence pour les voitures importées d’origine japonaise, car elles répondent aux normes de sécurité et à l’équation qualité-prix », dit-il. Il fait remarquer qu’une majorité de voitures de marques japonaises sont fabriquées hors du Japon et que leur qualité n’a rien de comparable avec les vraies japonaises.
À titre d’exemple, il avance qu’une Toyota Vitz datant de l’an 2000 se vend à Rs 200 000 et ces voitures sont très demandées. Les prix des autres voitures varient selon les marques et leur âge.
Mais le dernier Budget laisse un goût amer à Zaid Ameer. Il regrette que plusieurs de ses demandes aient été ignorées. Parmi, il cite l’élimination du Registration duty sur les véhicules importés. Il s’insurge contre le fait que l’enregistrement d’une voiture de seconde-main âgée de quatre ans est au même prix qu’une voiture neuve.
Il regrette aussi que sa demande pour que les voitures hybrides soient 100 % exemptées de la taxe (duty free) n’ait pas été considérée. Il avance que cela aurait boosté la vente des voitures ‘eco-friendly’. D’où une meilleure protection de l’environnement et que cela aurait permis au pays de faire des économies de carburant.
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