Vinaya Sungkur : et si j’étais…

Vinaya Sungkur, est une comédienne qu’on ne présente plus à Maurice. Elle est cette semaine l’invitée de notre rubrique.

...plus jeune. Je me serais mise au violon. C’est un instrument qui m’a toujours fasciné et qui continue à me fasciner.

...Un homme connu. Jean-Claude Belmondo. Déjà parce qu’il a révolutionné le cinéma par sa façon de jouer. C’est un acteur  représentatif de  la nouvelle vague du cinéma. De plus,  sa personnalité me plaît beaucoup.

...Un accessoire pour homme. Une montre. Aussi longtemps que je me souvienne, mon père a toujours eu une belle montre au poignet.

...Premier ministre. J’aurais fait en sorte que la population soit plus prospère. Et puis j’aurais trouvé un moyen pour que la culture et le sport soient mieux considérés.

...Dieu. La bonne question, ce que chaque individu peut faire pour l’humanité.

...Une  destination. Le Japon, dont j’apprécie beaucoup la culture.

...La machine à remonter le temps. Je ne remonterais pas dans cette machine pour aller changer quoi que ce soit. Je préfère regarder devant moi que derrière moi.

...Une bouteille à la mer. Je vais citer Michel Audiard qui a un jour dit : « Heureux soient les fêlés car ils laisseront passer la lumière. » Je crois qu’on doit tous nourrir un grain de folie en nous.

...Un génie de la lampe. Pour mon premier vœu, je vais lui en demander une vingtaine que j’utiliserais par la suite pour faire plaisir à mes proches.

...Une date. Le 16 janvier 2009. C’est à cette date que mon neveu a vu le jour. Et depuis il me remplit  de bonheur.

...Un complexe. Je suis d’avis qu’il faut toujours tourner ses imperfections en des qualités. N’empêche que je n’aime pas mes oreilles. Mais j’ai fini par les accepter.

...Un phénomène naturel. Le crépuscule. J’aime voir le jour lutter en vain avant de céder sa place à l’obscurité.

...Un péche-mignon. Mon verre de vin rouge en fin de semaine.

...Un mot. Je le prends toujours comme un compliment quand les gens me disent que je suis perchée.

...Une série de télévisions. J’en ai deux. Empire et Lucifer. Ces deux séries me détendent.

...Une histoire d’amour. L’histoire d’amour dans le film La Land.

...Un sobriquet. Là encore j’en ai deux. On m’appelle Vine ou Yaya.

...Mon dernier repas avant mon exécution. Le poulet au Whisky de ma maman. Personne n’a jamais pu en faire d’aussi bon.