Elle n’accepte plus que les familles de la Résidence Anoska soient stigmatisées. Dans le but de valoriser son lieu de vie, cette mère de famille de 32 ans a démarré, depuis quelques mois, une série d’activités avec d’autres habitants de la région. La jeune femme a hâte de mettre un frein aux discriminations dont continuent à être accablés les habitants. Rencontre avec celle qui n’a pas sa langue dans sa poche.
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Retrouvez l'intégralité de cet article dans Le Défi Quotidien de ce mercredi 23 septembre.
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