« Nonsense ». C’est en ces termes que le ministre Mentor a qualifié le rapport Trafficking in Persons publié en juin par le département d’État des États-Unis. Il a affirmé que Maurice prend les précautions nécessaires pour que le nom du pays ne soit pas cité parmi les pôles mondiaux du trafic humain.
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Durant ces derniers trois ans, la police a enquêté sur cinq cas de trafic allégué. Un comité travaille sur l’application des clauses du Trafficking in Persons Act de 2009. Il y a même un comptoir dédié au trafic humain aux Casernes centrales. Le Passport and Immigration Office travaille avec le ministère du Travail sur le repérage et les descentes dans des lieux où des cas suspects de trafic humain ont été decelés. Le gouvernement procède, aussi, à la rénovation d’un bâtiment pour abriter des victimes du trafic. De plus, des campagnes de sensibilisation sont mises en place.
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