C’est une rencontre qu’on ne fait pas tous les jours ! Entre selfies à la chaîne et confidences d’enfants sur leurs listes de cadeaux, le Père Noël « himself » a accordé un moment précieux à Le Dimanche/L’Hebdo. Confortablement installé dans son fauteuil rouge au milieu de sapins scintillants et de rires d’enfants, il s’est prêté au jeu des questions.
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D’où venez-vous, Père Noël ?
(Rires) Du pôle Nord, évidemment ! Mais, pour être honnête, je suis né en France. Je me suis installé à Maurice en 2016, après avoir eu « enn 35 » mauricienne (rires).
Présentez-vous.
Depuis 2018, j’incarne le personnage du Père Noël à Maurice. C’est un rôle que j’adore. Ce métier saisonnier me permet non seulement de répandre un peu de magie à travers le pays, mais aussi de gagner quelques sous pour voyager et aller skier avec mes petits-enfants. J’ai refait ma vie avec une Mauricienne et je suis l’heureux père de six enfants. En février prochain, je fêterai mes 60 ans et je pourrai enfin profiter d’une retraite bien méritée.
Mais ce n’est pas tout, je suis également un business man (rires). Pendant le reste de l’année, je bricole, car je suis un grand fan de petits projets manuels, et de profession je suis dans la maçonnerie. Comme quoi, même le Père Noël a plusieurs cordes à son arc !
Les enfants ont été sympas cette année ?
Ils ont tous été très gentils. J’ai une formule qui fait rire les parents : je m’adresse aux enfants et je leur dis tout bas, comme si c’était un secret : « Tu sais, il n’y a que des enfants sages… Ce sont les parents qui ne comprennent pas toujours ! » (Rires) Cela donne matière à réflexion mais c’est vrai, les enfants sont sages à leur manière. Ce sont souvent les attentes des parents qui sont plus exigeantes. (Rires)
Vous les surveillez d’en haut ?
Oui, bien sûr. Je les vois profiter de la vie avec leur insouciance naturelle. Un enfant ne se demande pas si ce qu’il fait est bien ou mal, il agit par curiosité ou spontanéité. S’il casse quelque chose, c’est pour tester sa résistance. (Rires) S’il fait une colère, c’est qu’il exprime un besoin ou une frustration.
En réalité, ce sont souvent les caprices qui déroutent les parents mais ils en sont parfois responsables : un caprice persiste seulement si on y cède. J’ai six enfants et ils ne font pas de caprices ou alors, ils n’ont jamais réussi à les faire durer !
Pourquoi ?
C’est simplement parce que leur maman et moi, nous avons toujours tenu la même ligne : on ne cède pas. Ils n’ont jamais manqué de rien, bien sûr… après tout, je suis le Père Noël ! (Rires)
Et pour ceux qui ont obtenu de mauvaises notes pour l’année scolaire, pas de cadeau ?
(Rires) Mais non, ils recevront des cadeaux, même s’ils n’ont pas bien travaillé à l’école.
J’existe dans l’imaginaire et j’existerai toujours»
Comment ça ?
Parce que ce sont justement ceux qui échouent qu’il faut encourager. Cela les aide à retrouver leur motivation et à recommencer. Le droit de repasser ses examens, accordé par le gouvernement, estune décision est positive. L’échec est une leçon : il enseigne qu’on ne peut pas traverser un mur. Il faut donc apprendre soit à le contourner, soit à le franchir. Ce qui compte, c’est de ne jamais abandonner.
Les parents doivent expliquer à leurs enfants que leurs efforts construisent leur avenir. Malheureusement, tous les enfants n’ont pas cette capacité de compréhension, et c’est là qu’il faut trouver des moyens ludiques pour leur donner le goût d’apprendre. Je pense d’ailleurs que ce type d’approche fait cruellement défaut dans le système éducatif mauricien.
Il existe des méthodes scandinaves, par exemple, qui associent plaisir et apprentissage. Ici, je remarque souvent que les enfants progressent grâce aux cours particuliers dispensés par leurs enseignants. Alors, pourquoi ces mêmes enseignants n’intègrent-ils pas cette pédagogie pendant les heures de classe ? Est-ce une question de rémunération ? Cela mérite réflexion.
Les parents doivent-ils passer plus de temps avec leurs enfants ?
Idéalement, oui, mais cela suppose que les parents disposent à la fois du temps, des connaissances et d’une véritable approche pédagogique. Beaucoup de parents n’ont pas ces compétences ni ces moyens. Souvent, lorsque j’aide des enfants à faire leurs devoirs, les résultats sont là.
Quand je m’assois avec eux, ils me demandent : « Tu reviens nous aider bientôt ? » Ce moment de partage fait une grande différence. Trop souvent, les parents se contentent d’un ordre : « Fais tes devoirs. » C’est une approche autoritaire qui ne fonctionne pas toujours. Un enfant serait bien plus motivé si ses parents s’impliquaient activement dans ce moment, même en dehors des jeux. L’éducation, c’est avant tout un temps de partage et de complicité.
Pourquoi est-il important de faire rêver les enfants ?
Faire rêver les enfants est essentiel, car ils évoluent dans un monde où l’imaginaire demeure intact. Ils ne connaissent pas encore les préoccupations des adultes : comment gagner de l’argent pour se nourrir, payer les factures ou le loyer. Les enfants ont besoin de rêver, et c’est précisément ce que leur offre le Père Noël.
Cette figure magique, bien plus qu’un simple personnage, incarne un univers féerique et leur apporte une dose supplémentaire de rêve. De plus, selon la légende, il distribue des cadeaux, concrétisant ainsi les aspirations des petits comme des grands. À travers cette tradition, les parents entretiennent cette magie dans l’esprit des enfants, souvent jusqu’à ce qu’ils atteignent l’âge de raison. Cela crée des souvenirs marquants non seulement pour les enfants, mais aussi pour les parents et grands-parents.
Je me souviens des sourires des parents lorsqu’ils me prennent en photo avec leurs enfants. C’est le plus beau cadeau que je reçois en tant que Père Noël. Une fois le costume retiré, je perçois les gens différemment, sans cette aura de magie, et leur attitude change. C’est véritablement l’enchantement du Père Noël qui rend ces sourires possibles, surtout ceux des enfants, émerveillés derrière l’objectif de leurs appareils photo. C’est un moment magnifique et c’est mon cadeau à moi.
Pourquoi, en ces temps modernes, un sourire est-il important ?
Nous vivons dans un monde où la vie est souvent semée d’embûches, entre inflation, tensions politiques et défis sociétaux. Nous sommes à une époque où l’entraide mutuelle est plus indispensable que jamais. Cette entraide n’a pas besoin d’être matérielle : un sourire est le plus beau cadeau que l’on puisse offrir à quelqu’un et recevoir en retour.
Quand je me promène en costume, que ce soit à Port-Louis, Rose-Hill ou Quatre-Bornes, je ressens que les gens éprouvent le besoin de sourire et de me saluer, simplement parce que je leur souris. C’est bien plus qu’une simple marque de solidarité : c’est de la magie. Même lorsque les choses ne vont pas bien, ni pour moi ni pour eux, je prends toujours plaisir à offrir un sourire. Et ce sourire m’est rendu au centuple.
Quels sont les secrets que vous confient les enfants lorsqu’ils sont dans vos bras ?
Quand les enfants me voient, ils découvrent un être imaginaire qu’ils n’auraient jamais imaginé rencontrer en vrai. Comme je m’efforce sincèrement d’incarner le personnage du Père Noël, beaucoup d’entre eux me disent : « Tu es le vrai Père Noël ! » Le fait qu’ils viennent à moi, qu’ils voient et rencontrent l’imaginaire, est magique.
D’où vient toute cette empathie, Père Noël ?
J’étais une personne très colérique. Cette empathie, je l’ai acquise au fil des années, surtout à travers mes rencontres professionnelles. J’ai fait partie d’une institution mondiale appelée les Compagnons du Devoir, qui m’a appris l’amour du métier, la vie en communauté et le respect de l’autre.
Mais c’est aussi grâce à ma foi chrétienne, car je suis catholique pratiquant et je vais à la messe presque chaque dimanche. Pendant cette période festive, j’ai toutefois l’obligation d’incarner le Père Noël tous les jours. Quand on applique le commandement d’aimer son prochain, il n’y a plus de place pour la guerre, les conflits ou la jalousie. L’amour sincère élimine ces mauvais sentiments.
J’ai acquis tout cela au cours de ma carrière. Je n’étais pas forcément quelqu’un de sympathique, mais lorsque je repense à la personne que j’étais et à ce que je suis devenu, je me dis que cela en valait la peine.
L’échec est une leçon. (…) Ce qui compte, c’est de ne jamais abandonner»
Qu’est-ce qui vous a poussé à changer ?
Je dirais que l’expérience et les événements de la vie m’ont fait évoluer. En 2008, j’ai eu un accident de moto très grave. J’ai même été déclaré mort.
Racontez-nous…
Le médecin a dit qu’il fallait me débrancher car il n’y avait plus d’espoir. Ma femme s’est mise à prier.
Quelle moto aviez-vous ?
Une grosse BMW 1150. Mon accident a eu lieu en 2008 en France, sur mon trajet quotidien. La gendarmerie m’a refusé un passage à un stop et j’ai percuté leur voiture. J’ai été projeté à 15 mètres, perdant mon casque, et j’ai été hospitalisé pendant un mois, dont huit jours dans le coma. Lorsque les médecins ont voulu me débrancher, ma femme a insisté pour qu’on attende encore un peu.
Le lendemain, le médecin lui a passé un coup de fil et elle pensait qu’on allait lui annoncer ma mort ; en réalité, c’était pour lui dire que je m’étais réveillé. (Rires) C’était un miracle. J’ai tellement d’amis sur la Côte d’Azur qui ont formé une chaîne humaine pour demander ma guérison. Cette solidarité autour de moi a été déterminante pour changer ma manière de voir la vie et affronter les épreuves.
Par la suite, à Maurice en 2018, je construisais seul une maison et en posant une dalle, la plaque a glissé sous mes pieds, me faisant tomber de deux étages. J’ai eu des points de sutures à la tête et des côtes fracturées. Encore une fois, j’aurais pu y rester mais mon heure n’était pas encore arrivée. (Rires)
Ma fille Océane m’a dit après ça : « Maintenant, papa, tu restes tranquille, tu ne bouges plus lorsqu’il y a le chiffre 8 dans les années ! » (Rires) Je pense que ces épreuves m’ont appris à devenir plus calme, moins exigeant et plus compréhensif envers les autres.
Maçon, vous faisiez un métier de « dur », et maintenant vous vous êtes « ramolli » ?
(Rires) Les tablettes de chocolat que j’avais quand je faisais de la gymnastique et que je travaillais dans le bâtiment se sont transformées en mousse au chocolat, comme vous pouvez le constater avec mon gros ventre. Mais je fais des efforts pour changer ! (Rires)
Que pensez-vous de l’actualité politique du pays ?
Bien sûr, je me suis rendu aux urnes pour voter vu que j’ai la nationalité mauricienne. Même si mon costume est rouge, j’avoue que j’ai soutenu une autre couleur. (Rires)
Pour revenir à la politique, j’ai été satisfait du travail accompli par le précédent Premier ministre. La seule chose qui m’a déçu, c’est son attitude envers ses opposants, notamment en les emprisonnant. En politique, on ne combat pas de cette manière, on dialogue. C’est vraiment le reproche que je lui adresse.
Maintenant, j’apprends qu’il n’a pas dit toute la vérité ! Parce qu’il est vrai que Pinocchio est un menteur né. (Rires) Il n’a pas été totalement transparent sur les millions de dollars qu’il a changés pour faire face à la crise de la COVID-19. J’apprends qu’il a imprimé de la monnaie, ce qui a entraîné une sacrée inflation. Donc, l’inflation n’est pas uniquement due à la guerre en Ukraine ou à la hausse des prix du pétrole. Tous les pays qui impriment de la monnaie se retrouvent avec une inflation galopante.
Cependant, en ce qui concerne les infrastructures, les trams du Metro Express et les Flyovers, tout ce qui a été fait, c’est un vrai progrès. Quand je ne suis pas sur mon traîneau, je roule beaucoup sur les routes de Maurice et je constate qu’il y a eu de réelles améliorations en termes d’infrastructures routières et de logements sociaux. Bien sûr, il y a eu des commissions pour développer tout cela, mais cela ne justifie pas que la population se retrouve face à une forme de dictature.
Cependant, je suis heureux de voir que le nouveau Premier ministre est revenu à la tête du gouvernement et les Mauriciens l’ont plébiscité avec un 60-0. C’est une belle victoire, mais maintenant, il doit être à la hauteur de ce soutien.
Un sourire est le plus beau cadeau que l’on puisse offrir à quelqu’un et recevoir en retour»
Donc, l’ancien Premier ministre n’aura pas de cadeau pour Noël et le nouveau, lui, en aura ?
(Rires) L’ancien n’a pas été un « bon enfant », donc il n’aura pas de cadeau. Le nouveau, c’est encore trop tôt pour le dire. Il faut attendre et voir s’il « behave ». S’il le fait, il aura son cadeau en décembre 2025. On verra bien ! (Rires)
Que pensez-vous du changement climatique ?
En tant que Père Noël, je trouve le changement climatique préoccupant, car la fonte des glaciers pourrait un jour me contraindre à poser mon traîneau sur de l’herbe plutôt que sur la neige. Les cycles des calottes glaciaires ont prouvé qu’il y a eu des périodes de réchauffement et de refroidissement ; aujourd’hui, on parle de changement climatique, souvent en l’attribuant entièrement à l’humanité. Pour ma part, je pense que l’être humain n’est pas le seul responsable de ce phénomène, ni de la hausse des températures, ni du gigantisme des villes. Cela dit, quand nous arrêterons d’émettre du CO2, il est probable que la situation s’améliore.
Il existe aujourd’hui des solutions. Par exemple, l’hydrogène est une ressource inépuisable qui ne produit pas de CO2. En Australie, une marque de voiture a développé une pile à hydrogène qui alimente un moteur électrique et permet à une voiture de parcourir 900 km avec un plein en 5 minutes. Je pense que c’est l’avenir. Cependant, il y a de puissants lobbies pour le pétrole et le charbon, alors pourquoi ne pas investir davantage dans le développement de l’hydrogène ?
On me traitera peut-être de climato-sceptique, mais je préfère écouter les vrais scientifiques plutôt que certains qui semblent vouloir exploiter la peur liée au changement climatique pour obtenir des financements. Pour moi, il existe de nombreuses façons de lutter contre ce phénomène, mais il faut que les lobbies cessent de privilégier leurs intérêts pour que nous puissions avoir une planète plus saine. Quoi qu’il en soit, le réchauffement climatique a lieu, qu’on le veuille ou non, mais je ne crois pas que l’humanité soit entièrement responsable de l’état de la planète.
Maurice n’est pas à l’abri des effets du changement climatique. S’il y a des inondations, où cacherez-vous vos rennes ?
(Rires) L’être humain a toujours su s’adapter. Certaines espèces ont disparu et ce sera peut-être également le cas pour l’humanité, un jour. Mais, j’existe dans l’imaginaire et j’existerai toujours. Si je devais vraiment me cacher, ainsi que mes rennes, je pense que ce serait sur le Pieter Both, bien sûr, car c’est le point le plus haut et j’ai toujours eu envie de grimper là-haut, sur ce caillou qui semble maintenu par l’intervention divine et dont on se demande comment il ne tombe pas. (Rires) Cependant, je me suis déjà renseigné pour en faire l’escalade, donc c’est bon. Il me faudra juste maigrir avant ! (Rires)
Pour clore cet entretien, quel est votre message aux enfants et aux adultes ?
D’abord, Ho ! Ho ! Ho ! Un joyeux Noël à tous les Mauriciens et à la diaspora mauricienne aux quatre coins de la planète. Mon souhait le plus cher est que nous puissions vivre en paix et en harmonie. D’ailleurs, savez-vous que le prénom de ma première fille est Harmonie ?
L’harmonie ne réside pas seulement dans l’amour, mais aussi dans la solidarité et le pragmatisme. Alors, restons main dans la main, comme on dit, et je suis sûr que nous passerons un Noël mémorable cette année et pour bien d’autres encore. Amusez-vous bien et surtout, soyez des « bon zanfan ». Sinon, pas de cadeau l’an prochain ! (Rires)
J’en profite pour dire que je ne bois pas de lait et que je ne mange pas de cookies. Mais, je m’y efforce lorsque je viens déposer les cadeaux chez vous la veille de Noël. Mais, si vous voulez vraiment me faire plaisir, laissez-moi du « Alouda ek enn bon kari poul ». Ho ! Ho ! Ho ! (Rires)
Pour la nouvelle année qui s’annonce sous de bons auspices, notamment avec le fameux 14e mois qui en ravira plus d’un, je vous conseille de ne pas tout dépenser d’un coup. Janvier peut être un mois difficile, alors gardez-en un peu pour « letan dir ». Je vous souhaite une année pleine de changements positifs et, comme on dit après le 60-0, accrochez-vous bien ! (Rires)
En tant que Père Noël, je vous rappellerai toujours que derrière chaque sourire se cache une opportunité de rendre le monde un peu plus magique. Alors, cette année, n’oublions pas de sourire et de rêver comme des enfants. Ho ! Ho ! Ho ! Joyeux Noël et bonne année 2025 à tous !
La magie de Noël avec Ascencia
Au cours des derniers mois, l’équipe d’Ascencia s’est pleinement investie pour offrir aux visiteurs de ses malls, une saison festive inoubliable, remplie de joie et d’émerveillement. Chaque détail des décorations de Noël reflète l’esprit d’équipe qui fait la force d’Ascencia, permettant à cette magie de prendre vie dans ses centres commerciaux, et garantissant des instants mémorables en famille et entre amis !
Les Rendez-vous :
Bagatelle Mall : Les enfants peuvent jouer dans la neige tous les soirs jusqu’au 24 décembre de 19 h 30 à 22 h 30, avec des sessions toutes les 30 minutes. Les plus grands pourront explorer le Christmas Village installé au 42 Market Street, également ouvert jusqu’au 24 décembre.
Phoenix Mall : Découvrez le Night Christmas Market jusqu’au 23 décembre de 14 h à 23 h. Le Père Noël sera présent les 23 et 24 décembre de 18 h à 21 h pour ravir petits et grands.
Riche Terre Mall : La magie de Noël résonnera à travers un Christmas Carol prévu le 22 décembre à partir de 19 h 30, suivi d’un trio de chants de Noël le 24 décembre, dès 19 h 30.
Bo’Valon Mall : Le Père Noël sera présent le 22 décembre de 10 h 30 à 13 h. Une parade de Noël est prévue le 23 décembre, de 18 h à 19 h 30, suivie d’un chant de Noël à 19 h 30 pour clôturer cette belle soirée.
So’flo : Le Père Noël sera présent pour faire rêver les enfants jusqu’au 24 décembre. De plus, grâce à la générosité des visiteurs de So’flo, une cinquantaine d’enfants du SOS Village recevront des cadeaux pour illuminer leur Noël.
Kendra : La magie de Noël continuera le 24 décembre, de 17h 30 à 21 h pour un moment enchanteur.
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