Faits Divers

Striptease à Flic-en-Flac - Popo Hazaareesing : « Je n’ai rien fait d’illégal »

« Je n’ai rien fait rien d’illégal. »

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Ce sont les propos tenus par le patron du Gentlemen’s Club, Popo Hazareesing, qui, depuis le week-end, a vu son club privé de Flic-en-Flac propulsé au-devant de la scène médiatique. 

Cela, après qu’une descente de police menée par les hommes de l’inspecteur Sungur a surpris des étrangères  se déhanchant sur les poles du club. La police a mis fin à la soirée et a embarqué les cinq étrangères. Depuis, une interdiction de quitter le pays pèse contre Elmira Hasano, Anna Dubynka, Kryshyna Paniushkina, Alisa Tyvoniuk, Vika Lipinska et la djette bélizienne Jessel Monique Lauriano. Mercredi, la CID de Flic-en-Flac a poursuivi l’interrogatoire des gogo dancers. Les cinq femmes ont été invitées à participer à une parade d’identification. Me Rouben Mooroorangapillay, avocat des gogo dancers, y a objecté pour vice de procédure.

Popo Hazareesing a exprimé son mécontentement. « Je suis déçu de la tournure des événements », indique le gérant du Gentlemen’s Club. « D’autres artistes ou DJ animent des événements dans le pays. Ce sont des soirées payantes et ces artistes ne sont même pas détenteurs d’un permis de travail. » Le patron du Gentlemen’s Club  risque d’être interrogé dans le cadre de cette enquête. Cinq jours après leur descente, les enquêteurs de la CID veulent déterminer si ces étrangères sont victimes de trafic humain.

 

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