Un profond désespoir. C’est le sentiment qui habite Rousaknah Rujubali, la sœur d’Azam. Les larmes lui montent aux yeux en entendant le bruit des marteaux piqueurs qui se sont mis à leur œuvre de destruction à 10 heures ce lundi 25 septembre.
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Elle témoigne, avec beaucoup de peine : «C’est un triste lundi pour nous. C’est un immense chagrin difficile à supporter. C’est très dur à vivre. Où irons-nous à présent que nous n’avons plus de maison?»
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