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Restauration - Kim Fee: un cadre agréable pour les salariés moyens

Le restaurant Kim Fee à Grande-Rivière Nord-Ouest offre un cadre agréable pour partager un repas entre collègues de bureau à l’heure du déjeuner. Avec une carte de menu variée et à un prix très abordable, il attire des cadres moyens et des petits salariés. « Nous faisons de notre mieux pour offrir le meilleur service possible à notre clientèle », explique Kate Chan, qui gère le restaurant depuis son ouverture en 2009. On y trouve des mines bouillies avec poulet à Rs 75, avec bœuf à Rs 85, ainsi que des mines frites, riz frit, bol renversé, Meefoon frit et autres plats les uns les plus succulents que les autres. Ceux qui préfèrent le pain ont aussi un accompagnement varié, allant de l’achard de légumes à la viande frite, en passant par une variété de sauces. On peut aussi passer une commande qui ne figure pas sur la liste de menu, comme un steak accompagné de pomme de terre frites. Louis, qui travaille dans un bureau avoisinant, est un client habituel du restaurant. « J’aime surtout cette saveur particulière des mines, qu’elles soient bouillies ou frites », dit-il. Il explique qu’il est même venu au restaurant avec sa famille alors qu’il était en congé.
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/div> [row custom_class=""][/row] De bouche-à-oreille, le restaurant a bâti une solide réputation parmi les employés de bureau. « Des clients nous viennent même de Pailles, de Pointe-aux-Sables, Coromandel et de Port-Louis », avance la gérante. Elle explique que c’est son frère, gérant d’un autre restaurant familial situé à Curepipe, qui a entrepris les démarches pour ouvrir celui de Grande-Rivière Nord-Ouest. À l’époque, l’emplacement était vide. La vieille boutique, qui offrait ses services depuis des décennies aux habitants de la région, a fermé ses portes. « Mon frère a initié des démarches auprès du fils du propriétaire pour ouvrir ce restaurant, comblant ainsi un vide, car il manquait un endroit approprié où les cadres pouvaient déjeuner dans cette localité ». L’aménagement du restaurant a nécessité un investissement d’un peu plus Rs 100 000, précise-t-elle. Il peut offrir une quarantaine de couverts et emploie huit personnes, dont une cuisinière et son assistante. Autre particularité, le restaurant ne sert pas d’alcool. Kate avance que malgré leurs connaissances en gastronomie, les cuisinières ont dû être initiées à la cuisine chinoise. Elle explique que la réussite d’un plat dépend d’une bonne température et des ingrédients qu’on y ajoute. On peut la comprendre quand elle nous dit qu’elle garde secrète les recettes de la cuisine chinoise. La restauration est une tradition dans la famille, explique-t-elle. Elle avance qu’elle a été initiée à la cuisine aux côtés de son père et qu’elle projette d’ajouter d’autres plats au menu de son restaurant.
 

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