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[Reportage] Le cheval, compagnon de route pour se sentir bien dans sa peau 

Monter à cheval sur une plage déserte, bercé par le clapotis des vagues tout en admirant un magnifique coucher de soleil… C’est l’expérience qu’offre le Centre équestre de Riambel, niché dans le Sud au milieu de paysages à couper le souffle.

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Ouvert depuis environ 20 ans, le centre est une petite écurie rustique qui abrite 13 chevaux et un poney. La présence des chiens en ces lieux ne passe pas inaperçue. Comme quoi, le chien et le cheval peuvent faire bon ménage… 

Le Centre équestre de Riambel propose de partager la passion du cheval dans une ambiance conviviale. Son personnel expérimenté veillera que votre monture soit adaptée à votre niveau afin de pouvoir profiter de cette balade inoubliable en toute sécurité de la plage de Pomponnette à celle de Riambel.

« Tout le monde rêve un jour de monter à cheval mais faute de moyens, ce n’est pas toujours possible, indique Arunima Gobin-Bhunjun, 47 ans et directrice du centre. C’est pour cela que j’ai voulu donner la chance au public d’apprendre. Nager ou se baigner avec les chevaux est aussi une expérience unique. »

 
Les inexpérimentés sont accompagnés par l’un des membres de l’équipe. Quant aux cavaliers émérites, ils peuvent se promener en toute liberté. Le prix d’une balade à cheval d’une heure est à Rs 1,500 mais on doit réserver au moins 24 heures. 

L’école de la patience 
Arunima Gobin-Bhunjun soutient que le cheval, c’est l’école de la patience, du sang-froid, de la maîtrise de soi et de la diplomatie. « Le cheval est un bon maître pour le corps, l’esprit et le cœur. Après une balade à cheval, on se sent bien dans la peau. Tous les muscles du corps sont relâchés et c’est une relaxation complète. »  

Sauver plus de chevaux
Le Centre équestre de Riambel est un concept unique visant à offrir un nouveau départ et une nouvelle vie à des chevaux retraités des courses. Avec l’optique de s’appuyer sur une démarche professionnelle et leur ouvrir les portes de l’équitation. 

« Au Centre, j’offre une deuxième vie aux chevaux retirés des hippodromes, confie Arunima Gobin-Bhunjun. Ce n’est pas parce que ces pur-sang ne sont plus aptes à courir en compétition qu’ils sont perdus. Ils peuvent encore donner du plaisir aux gens. Ici, on les forme pour les réorienter vers le loisir et le tourisme équestre. »

 

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