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Réclamation de Rs 100 M pour arrestation abusive : le couple Bholah discute d’un accord à l’amiable avec l’État 

Hurrydeo Bholah parle de « vendetta politique », alors que Prateebah Koomaree Bholah évoque des « actions oppressives ».

Dix ans après une arrestation qu’ils qualifient « d’oppressive », l’ancien ingénieur Hurrydeo Bholah et son épouse, l’ex-députée Prateebah Koomaree Bholah, réclament Rs 100 millions de dommages à l’État, au Commissaire de police et à l’ancien Assistant Commissaire de police (ACP) Heman Jangi. Mais un rebondissement est intervenu le mardi 16 septembre 2025 devant la Cour suprême : les parties explorent désormais la piste d’un règlement à l’amiable.

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À l’appel de l’affaire devant la juge Carol Green-Jokhoo, Mᵉ Rishi Hurdowar, représentant le couple Bholah, a annoncé que des pourparlers étaient en cours. Une déclaration appuyée par le représentant de l’État, Mᵉ Kritananda Naghee Reddy, Assistant Solicitor General. La juge a accordé un délai fixé au 20 novembre 2025 pour connaître l’avancement des pourparlers. Faute d’accord, le procès sera entendu sur le fond les 5 et 6 mai 2026. La plainte remonte à l’arrestation de Hurrydeo Bholah en 2015, dans le cadre d’une enquête sur des contrats de la National Development Unit (NDU) alloués après les inondations meurtrières de mars 2013. L’ingénieur, qui comptait alors trois décennies d’expérience dans le service public, avait été placé en détention par la police sous la supervision de l’ACP Heman Jangi.

Toutefois, après examen du dossier, le Directeur des poursuites publiques avait conclu qu’il n’y avait pas de matière à poursuivre : l’accusation provisoire d’entente délictueuse retenue contre l’époux avait été rayée. 

Le couple soutient que cette arrestation relevait d’une véritable « vendetta politique », liée à la carrière de Prateebah Koomaree Bholah, ancienne députée et ex-Parliamentary Private Secretary. Dans leur plainte, ils dénoncent des actions « oppressives » de la police. « Aucun citoyen d’un État démocratique ne devrait être arrêté ou détenu de cette manière en l’absence de preuves », disent-ils.

 

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