Quatre femmes tuées en un mois : des ONG tirent la sonnette d’alarme

En un mois, quatre femmes ont été tuées. Elles  ont été arrachées à leur famille par leur (ex)-partenaire.

Des ONG qui militent contre la violence à l’égard des femmes tirent la sonnette d’alarme.
Anushka Virahsawmy, directrice de Gender Links réclame une révision de la loi avec des peines plus sévères.    

La ministre de l’Égalité des genres et du bien-être de la famille, Kalpana Koonjoo-Shah qui a réagi sur les ondes de RadioPlus ce mercredi 23 mars dit avoir demandé à la Family Protection Unit d’assister les familles endeuillées.

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Soulignons que Dikshita Veerapen, 25 ans, a été mortellement agressée par Vidianand Beekharry, 28 ans, alias Monee, à Bambous, lundi 7 mars 2022. Mahima Gunga, 19 ans, a été poignardée au cœur par son grand-père le jeudi 17 mars. Les deux dernières victimes en date sont Fadila Futtinga, 31 ans, tuée mardi 22 mars à Poste-de-Flacq, et Swaleha Khoyratty, 50 ans, qui a perdu la vie à Port-Louis.