Une entreprise privée vient d’apprendre que l’aval du ministère de l’éducation n’est pas requis pour qu’elle ferme ses deux établissements préscolaires. La fermeture d’une école maternelle et d’une garderie à respectivement Poste-de-Flacq et L’Aventure avait été souhaitée, d’abord, par les parents eux-mêmes, après qu’une puéricultrice ait été accusée d’avoir frotté du piment sur la bouche d’un petit en guise de punition. L’enfant n’avait pas fait ses devoirs.
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La conduite de l’infirmière a provoqué la consternation au sein de l’établissement et parmi les parents. à la suite de quoi, plusieurs parties intéressées ont souhaité la fermeture pure et simple des deux établissements. Une étrangère, qui agit comme bienfaitrice auprès de la compagnie privée à travers une fondation, s’est elle aussi rangée dans le même camp.
Le ministère de l’éducation et de l’égalité des Genres a lui objecté. À l’appel de l’affaire, lundi, devant le juge Prithviraj Fekna, l’avoué Zubayr Hatteea, qui représente la compagnie demanderesse, a informé le juge que sa cliente a appris que l’aval ministériel n’était pas requis pour la fermeture de ses établissements et que celle-ci ne comptait plus poursuivre la procédure de sa requête. Celle-ci a donc été retirée.
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