Le lundi 17 juillet, à 18 h 17, le personnel du SAMU reçoit un appel anonyme. La voix masculine au bout du fil lance une mise en garde : « Une bombe a été déposée dans l’enceinte de l’hôpital Victoria. Elle explosera dans la prochaine demi-heure. »
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Ne voulant prendre aucun risque, le personnel du SAMU alerte aussitôt l’Information Room de la police. Peu de temps après, la Bomb Disposal Unit, la Special Mobile Force, les chiens renifleurs et l’équipe de déminage investissent l’enceinte de l’hôpital Victoria. Puis ils se déploient dans tout le secteur pour trouver la bombe.
Les moindres recoins de l’hôpital sont inspectés. Toute l’opération est cependant menée dans l’entière discrétion. « Le but étant de ne pas semer la panique », explique l’administration de l’hôpital.
Sauf que les mouvements des différentes unités de la police ne passent pas inaperçus. La nouvelle ne s’étant pas ébruitée, personne ne se doute que les policiers sont à la recherche d’une bombe prête à exploser. Après avoir ratissé le périmètre, les policiers se rendent compte que le coup de téléphone était finalement l’œuvre d’un plaisantin.
La police est en présence du numéro de téléphone utilisé par l’individu ayant lancé la fausse alerte à la bombe. L’enquête ouverte pour retracer son identité est menée par le SI Dookayka sous la supervision du SP Gokool.
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