C’est une histoire qui brise le cœur. À peine âgé de quatre mois, Jamal a déjà connu l’abandon le plus cruel. Ce petit garçon, inoffensif et démuni, a été laissé à l’abandon par ceux qui devaient être ses protecteurs : ses propres parents.
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Le 21 mai 2024, à peine une semaine après sa naissance, Jamal est confié à l’hôpital Victoria, à Candos. Alerté par un travailleur social, les autorités découvrent un nouveau-né seul et vulnérable, sans personne pour s’occuper de lui. Ses parents ont mystérieusement disparu.
Pris au piège de la toxicomanie, ce jeune couple, autrefois rempli d’espoir, s’est éloigné de leurs responsabilités parentales. Incapables de subvenir à leurs propres besoins, ils ont été inondés par la drogue, les empêchant de s’occuper de leur enfant. Contactés par la Family Welfare and Protection Unit (FWPU) pour discuter de l’avenir de Jamal, ils ont confirmé leur incapacité à s’en occuper.
La décision a ainsi été prise de placer Jamal dans un refuge pour enfants, où il pourrait recevoir les soins dont il avait désespérément besoin. Les parents, malgré plusieurs tentatives de contact, n’ont jamais donné signe de vie. Ils n’ont pas assisté aux audiences du tribunal, ignorant les appels à revenir, à se battre pour leur enfant.
Aujourd’hui, Jamal est dans un centre. Mais une question persiste : qu’adviendra-t-il de lui ? Trouvera-t-il un jour une famille prête à l’aimer comme il le mérite ?
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