« Ce n’est pas parce qu’une personne a choisi d’investir dans une juridiction particulière qu’elle veut obligatoirement abuser d’un système ». Affirmation du ministre des Services financiers, ce mardi 5 octobre, après la publication des « Pandora Papers ». Jusqu’ici, les noms de 17 Mauriciens et 37 entités du pays figurent dans ces documents.
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Pour Mahen Seeruttun, il n’y a rien pour l’heure qui justifie l’institution d’une enquête sur les Mauriciens cités.
De quoi s’agit-il ? Les « Pandora Papers » concernent la fuite de quelque 11,9 millions de documents confidentiels dans le monde, issus de 14 sociétés d’experts-comptables actives. Notamment dans des paradis fiscaux comme le Panama ou les îles Vierges britanniques.
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