
Les employés de Mauritius Duty Free Paradise, une filiale d’Airport Holdings Ltd., tirent la sonnette d’alarme concernant ce qu’ils décrivent comme des conditions de travail difficiles. Ils évoquent un traitement malveillant au sein de l’entreprise, sous la direction d’un cadre supérieur nommé sous l’ancien gouvernement. Les membres du personnel font part d’une moralité en chute libre, de risques pour la santé et d’un environnement toxique. Ce qui alimente les craintes que ces problèmes sabotent l’image du nouveau CEO et du Parti travailliste. Ils s’en sont remis au bureau du Premier ministre. Les griefs concernent entre autres un planning récemment mis en place qui fusionne deux shifts en un seul, modifiant radicalement les routines quotidiennes et le soutien aux travailleurs. « Nous avons été poussés à bout », a confié un employé. Le calendrier révisé oblige certains employés à se présenter au travail à 6 h 30, les forçant à se lever dès 4 heures. Les tensions ont escaladé avec des accusations de harcèlement. Au-delà des plaintes superficielles se cache un récit plus sombre. Les employés soupçonnent que ces mesures font partie d’un effort calculé pour ternir la réputation de la compagnie par des gens nommés par l’ancien régime.
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