Sur la plage, ils sont une petite foule de badauds à être venus observer les opérations menées par les autorités pour sécuriser lagon et récifs après le naufrage à Pointe-d’Esny du Wakashio, qui transportait 3 900 métriques tonnes d’huile et des marchandises, hier, samedi 25 juillet.
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Parmi, Aline Charlot, qui habite tout près, est revenue voir si les choses s’amélioraient après un premier coup d'œil ce matin. Ce n‘est pas juste la curiosité qui attire.
« Pakone si delwil deverse li pa pou bon », explique ce pêcheur de la localité, qui a déposé son casier de homards dans les parages du navire. Le naufrage du vraquier pose un inconvénient aux pêcheurs de la région. Car les autorités les auraient défendus de s’approcher du navire. Comme notre pêcheur de homards, ils sont plusieurs à affirmer avoir placé des casiers près du vraquier bloqué. Ils sont préoccupés car ils pêchent pour gagner leur vie.
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