« C’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme », disait le chanteur français Renaud. Une fois de plus, la mer a prouvé qu’elle peut se révéler impitoyable. En faisant leur travail, qui consistait à ramener une barge à bon port, trois pères de famille ont péri seuls et oppressés par le silence qui les entourait. L’un d’eux est toujours porté disparu. La mer, ils les aimaient tous. La mer, c’était leur gagne-pain, ce qui leur a permis d’offrir un meilleur avenir à femmes et enfants. Ces derniers, brisés par ce drame, reviennent sur le parcours de leurs chers disparus à la Mauritius Ports Authority, parlent de leurs qualités et confient des souvenirs à Le Dimanche/L’Hebdo.
Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition de Le Dimanche-L'Hebdo de ce dimanche 6 septembre.
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