Le National Ocean Council (NEC) pourrait se retrouver sans président dans les jours à venir. Le titulaire du poste, Sudesh Lallchand, aurait émis le souhait de prendre du recul. Le ministère de l’Économie océanique aurait émis des réserves concernant sa performance. Certains officiels de ce ministère se seraient plaints de son bilan qu’ils jugent « faible ».
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Sollicité pour une réaction vendredi, Sudesh Lallchand dément avoir soumis sa démission. Il nous a, en revanche, déclaré qu’il souhaitait se consacrer à d’autres projets d’envergure nationale. Outre la présidence du conseil d’administration du NEC, il occupe aussi le poste de conseiller au ministère des Infrastructures publiques. Il explique qu’il voudrait consacrer plus d’énergie aux projets importants qui seront prochainement supervisés par le ministère des Infrastructures publiques.
Sudesh Lallchand avait, lors des dernières élections générales, participé à l’élaboration du programme économique de l’Alliance Lepep. Outre le poste de conseiller au ministère des Infrastructures publiques, on lui a aussi confié la présidence de la Mauritius Shipping Corporation Ltd (MSC). Sudesh Lallchand est souvent consulté sur plusieurs dossiers importants. Il a notamment été impliqué dans le processus de privatisation des centres de fitness, l’élaboration du programme de décongestion routière et le projet Metro Express. Il chapeaute aussi le projet de modernisation de la gare Victoria, à Port-Louis.
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