Depuis qu’il a été supprimé de la liste de contacts de sa voisine sur Facebook, un homme ferait vivre un calvaire à la famille de la jeune femme. Un inspecteur de police a promis de se pencher sur ce cas.
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Une famille, habitant la capitale, vit un véritable calvaire depuis 2013. Soit, l’année durant laquelle un de ses membres a repoussé les avances d’un voisin sur Facebook. Ce dernier n’a pas supporté que la jeune femme, âgé d’une vingtaine d’années, l’efface de sa liste de contacts sur le réseau social. Depuis, l’homme, qui est marié frappe à toutes les portes pour nuire à cette famille. Mis au parfum, le père de la jeune femme a ordonné à cette dernière de couper tout contact avec l’individu. Pour se venger, le voisin a adressé une lettre à la mairie de Port-Louis en 2013, dans laquelle il réclame la fermeture de l’atelier de soudure du père de la jeune femme. Pourtant, il y a vingt ans, la famille du voisin avait apposé sa signature sur une pétition déposée à la mairie, donnant son accord pour que l’homme puisse opérer son atelier de soudure. « J’invite la jeune femme concernée à consulter un homme de loi. Il est clair qu’il s’agit d’une vengeance personnelle », explique un préposé de la mairie. Depuis qu’il a été supprimé de la liste de contacts de la jeune femme, le voisin ne raterait pas une occasion pour lui en faire voir de toutes les couleurs. « Il nous mène la vie dure. La police nous rend visite pratiquement tous les jours. J’ai deux enfants à l’école. Cet atelier de soudure constitue le gagne-pain de mon époux. Il est à bout de force », confie la mère de la jeune femme. Interrogé par notre rédaction, l’inspecteur Shiva Coothen a promis de se pencher sur ce dossier.
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