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Modular Assessment de Sciences et Histoire-géo : les écoliers de Grade 5 ont trouvé les questions abordables

Malini Arnachellum et son fils Eli ont poussé un ouf de soulagement après les épreuves mardi. Sehan, qui est ici aux côtés de son père, pense obtenir des résultats satisfaisants.

Sentiment de sérénité et de confiance affiché par les parents et les élèves du l’école primaire Raoul Rivet le mardi 2 mars 2021 après la tenue du Modular Assessment de Sciences et d’Histoire-géo. Plus 14 000 écoliers de Grade 5 à travers l’île ont participé à ses épreuves en vue d’accéder au prochain grade. 

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Plus de 14 000 écoliers du Grade 5 ont pris part aux épreuves de Sciences et Histoire-géographie, le mardi 2 mars 2021, dans le cadre des examens du Primary School Achievement Certificate (PSAC). Le Mauritius Examinations Syndicate (MES) affirme que tout s’est passé sans anicroche. 

Le sentiment général parmi les élèves est que les questions étaient abordables. C’est notamment celui qui prime parmi les candidats de l’école primaire Raoul Rivet, à Port-Louis. La plupart de ceux interrogés estiment avoir bien travaillé. Certains vont jusqu’à dire que « les questions étaient faciles ». 

Sortant de la cour de l’école avec le sourire aux lèvres, Eli se dit confiant de réussir dans ces premières épreuves : « C’était assez abordable. » Même ressenti de la part de Gomeda, qui se dit satisfaite d’avoir eu droit à des questions ayant trait à des chapitres qu’elle avait révisés. « En sciences, il y a eu des questions sur la condensation et l’évaporation. Ce sont des sujets que j’avais révisés. J’ai donc trouvé le papier facile. Je pense avoir de bons résultats dans ces deux matières. »

Idem pour Yan qui a particulièrement retenu les chapitres qui ont été abordés dans le questionnaire d’histoire-géo. « Settlement et Soil Erosion sont des sujets que nous avons récemment abordés et révisés en classe. C’était donc facile de répondre à ces questions. Personnellement, je suis sûr d’avoir de bons résultats », confie-t-il. 

Sehan rejoint ses camarades sur le fait que les questionnaires étaient abordables. « Il y a certaines questions pour lesquelles j’ai eu des difficultés dans les deux matières, mais je me suis débrouillé. J’ai réussi à compléter l’épreuve. Je pense quand même obtenir de bons résultats. »  

Même sérénité affichée par Zaynah Goolamally, dont le fils Eijaz a participé aux examens. Si elle avoue qu’elle aurait préféré qu’il intègre déjà le PSAC en début d’année, elle se dit toutefois sereine par rapport à sa performance. 

« C’est la première épreuve du troisième trimestre pour ceux qui espèrent être promus pour le PSAC. C’est sûr qu’on ne s’attendait pas à ce que les enfants prennent trois mois de retard pour intégrer le PSAC, soit en juin et non au début de l’année », explique-t-il. Mais elle ajoute que personnellement, elle ne se fait aucun souci car son fils « est appliqué dans ses études ».   

Difficile pour d’autres d’afficher la même tranquillité d’esprit, à l’instar de Malini Arnachellum, dont le fils a pris part aux examens. Elle admet que l’attente de ces premières épreuves du troisième trimestre a été aussi stressante pour elle que pour son enfant. 

« Les révisions se sont faites jusqu’à la dernière minute. On aurait voulu que nos enfants passent en PSAC l’année dernière au lieu de prolonger ce stress des examens du troisième trimestre à cette année », indique-t-elle. 

Elle confie que son fils lui avait fait part de ses craintes avant de se rendre dans la salle des examens. « Mais en tant que parent, mon devoir est de l’encourager sans laisser transparaître que j’ai également des appréhensions, car c’est la dernière ligne droite pour intégrer le PSAC », conclut-elle.

 

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